Créez votre blog gratuit ou pro
Notes sur le tag : les démons
Tags relatifs
Dernières notes
Sartre est-il un possédé ? de Pierre Boutang
Photographie (détail) de Juan Asensio. Pierre Boutang dans la Zone . Dostoïevski dans la Zone . Les éditions de La Table Ronde dirigées par Alice Déon, qui ne publient plus qu'exceptionnellement de bons titres comme celui de Manuel Arroyo-Stephens , seraient bien inspirées de rééditer ce texte assez remarquable mais devenu comme tant d'autres introuvable de Pierre...
Publié le 20/11/2018 dans STALKER -... par Juan Asensio | Lire la suite...
Les Démons de Dostoïevski
Qui sont, au juste, les Démons de Dostoïevski ? Parmi ses nombreux personnages, lesquels peut-on qualifier de démoniaques ? Nicolaï Svévolodovitch Stavroguine ? Un « démonillon », pour reprendre son propre terme, que le chapitre « Chez Tikhone », plus connu sous le titre de « La c onfession de St a vroguine », nous révèle hanté par un...
Publié le 27/09/2015 dans Fin de partie par Thomas Becker | Lire la suite...
« POSSÉDÉS » ou « DÉMONS » ?
1/2 J’ai toujours entretenu une relation ambivalente avec Fédor Dostoïevski, échaudé vers l'âge de quatorze ans par des tentatives infructueuses dans L'Eternel mari et Le Joueur . Il a fallu du temps : rien de tel que l'étude de Cinna en classe de cinquième pour vous dégoûter durablement de Corneille. Et puis un jour, j’ai eu la chance de découvrir Les Frères Karamazov...
Publié le 26/05/2015 dans ALEXIPHARMAQ... par fredlautre | Lire la suite...
Raskolnikov
Dostoïevski, dans ses grands romans, n'a eu de cesse de reprendre un même personnage, pour en peindre les diverses formes. Stavroguine dans Les Démons (1871), le prince Mychkine dans L'Idiot (1868), sont par exemple les deux faces complémentaires d'un seul caractère historique bien déterminé : l'homme du XIXe, pris au piège du monde moderne, problématique que Nietzsche a...
Publié le 22/11/2014 dans Le blog de... par Jacques-Emile Miriel | Lire la suite...
Rire et horreur chez Dostoïevski
Le choc que c’est de découvrir Les démons ou L’idiot à vingt ans ! On se dit qu’on ne lira plus rien d’aussi grand. Qu’excepté Shakespeare ou Dante, la littérature s’arrête à la dernière phrase des Frères Karamazov ! Que tout le reste n’est que post-scriptum, paraphrase, mauvaise copie – Bernanos en premier lieu, le « Dostoïevski » français, tu parles !...
Publié le 16/10/2007 dans Pierre Cormary par Pierre CORMARY | Lire la suite...
Page : 1
Tags les plus populaires
actualité europe affaires européennes jean luc romero michel ps parti socialiste cinéma film israël paris ville de vanves états-unis allemagne caricature cartoon cinema enfance films iran occitanie politique internationale recettes roman société ukraine blog chanson consulat encre femme francophone guerre jean-pierre longre lettre los angeles musique photo vallaud ailes album californie chanson francaise chine commissaire fille flux intégral france gastronomie libre littérature coréenne